4ème de couverture:
Qu’est-ce qu’un héros, sinon un homme qui réalise un jour les rêves secrets de tout un peuple ?
Un matin de printemps, dans la décharge à ciel ouvert de San Perdido, petite ville côtière du Panama aussi impitoyable que colorée, apparaît un enfant noir aux yeux bleus. Un orphelin muet qui n’a pour seul talent apparent qu’une force singulière dans les mains.
Il va pourtant survivre et devenir une légende. Venu de nulle part, cet enfant mystérieux au regard magnétique endossera le rôle de justicier silencieux au service des femmes et des opprimés et deviendra le héros d’une population jusque-là oubliée de Dieu.
𝐿𝑒 𝑑𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑟𝑟𝑖𝑤𝑖𝑐𝑘
Pour cette dernière catégorie du menu AUTOMNE RAYONNANT, j'ai choisis "San Perdido" de David Zukerman avec les mots clés Guide, Relation et Guérison. San Perdido est une fille où la corruption et la prostitution prônent , la multitude de personnages sont tous plus où moins relié aux autres , un homme va agir dans l'ombre pour protéger et tenter d'améliorer cette ville. Grace à cette petite explication vous comprenez mieux pourquoi j'ai choisis ce roman avec les différents mots clés mentionnés.
Une lecture troublante...
Je ne sais pas quoi penser de cette lecture, il y a eu des moments où ça m'a captivé puis d'autre où j'ai été perdue dans le mélange des différents personnages. Le début a pourtant très bien commencé , l'environnement socio-politique, un personnage atypique désigné comme étant le sauveur de cette ville corrompue jusqu'à la moelle. Puis l'histoire principale stagne et finie par être transparente . Oubliée pour laissée place à des tranches de vie annexes , elles ne sont pas inintéressantes mais prennent carrément toute la place, le héro devient limite invisible .
Beaucoup de description, des lignes et des lignes de description au moins on peut très bien s'imaginer le décor et le fessier de la Gazelle pas de doute possible il est très bien décrit mais bon ça ne fait pas avancer l'histoire. En plus, on rajoute des personnages encore et encore moi ça m'a perdue, le fil conducteur s'est retrouvé invisible et je suis sortie de cette lecture avec l'impression que ce roman n'avait pas tenu toutes ses promesses. On me parle d'un sauveur dans la quatrième de couverture mais la plupart du récit ne parle que de sexe, de corruption . "Les méchants" prennent une place beaucoup trop importante et le sauveur est juste absent.
Je quitte ce roman avec une certaine déception car de prime abord , il avait absolument tout pour me plaire mais la panoplie de personnages, le héro absent, trop de description ont finit tout simplement par me lasser.