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"Dernière manche" de Catherine Dabadie


4ème de couverture:

Le père de Manoé est marin-pêcheur à Calais. Un matin brumeux, alors qu’il conduit son fils au collège, une ombre apparaît dans le faisceau des phares de la voiture. S’ensuit un impact léger, mou, mais aucune trace de choc. Près de là, dans un terrain vague, Manoé tombe sur un garçon de son âge, blessé et en panique, qui le supplie de ne pas appeler les secours. C’est un de ces jeunes migrants prêts à prendre tous les risques pour passer en Angleterre. Manoé aussi veut se rendre là-bas. Un peu pour assister à un match de foot, beaucoup pour y retrouver sa mère. C'est le début d’une amitié imprévisible soudée par un projet commun : traverser la manche, quel qu’en soit le prix.





Un roman qui rejoint l’actualité, palpitant, humainement fort et engagé.


Ils sont différends, l'un est blond et l'autre est brun. L'un n'a jamais quitté sa maison, l'autre a traversé beaucoup de pays . L'un est français , l'autre est afghan. Leurs chemins n'auraient jamais dû se croiser pourtant le destin va les réunir. De cette rencontre va naitre une amitié extraordinaire pour des gamins que la vie oppose .


La rencontre entre Manoé et Hazrat se fait sous de mauvais auspices. Lors d'un trajet en voiture , le père de Manoé renverse le jeune migrant. Ce dernier par crainte d'être arrêté par la police et ramené dans son pays se cache. Manoé le trouve et couvre sa fuite. Les deux jeunes garçons vont se retrouver soudés par un projet commun: traverser la manche .


C'est un roman qui rejoint l'actualité. Découvrir la jungle dans toute sa misère . Etre écœuré par les passeurs et leur manque d'humanité. L'écriture est fluide et plaisante. C'est un roman très facile à lire . Cependant, certaines scènes ne sont pas crédibles et les finalités un peu trop faciles. Mais ça reste un roman jeunesse alors je ne vais pas chipoter .



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